• Show case de Manuel Hermia 

     

     

    Manuel Hermia nous présentera son nouvel album Le murmure de l'Orient (Cristal Records)  mercredi 27 février à 18h30.

    Une invitation à un voyage qui va de l’Inde à l’Afrique du Nord, en passant par la Chine et le Moyen Orient. Manuel Hermia nous propose avec sa flute indienne  un ensemble de rencontres avec des artistes issus de ces divers horizons. Nourrie par la culture du raga en Inde, la musique se veut apaisante, spirituelle et méditative...

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  • Atelier Loup !

       (comprenez masqué) :

    On dessine, on découpe, on colle, on revisite la figure du loup de Mario Ramos avec pour seul but de tromper le Petit Chaperon Rouge et, bien évidemment, le croquer tout cru ! 

    Atelier libre, on arrive quand on veut ou / et quand on peut et on repart quand on est masqué, prêt à chasser ! Les abords de la librairie regorgent de Petit Chaperon Rouge, alors n'hésitez plus inscrivez vous vite pour venir confectionner votre masque !

    (si les petits chaperons rouges font défaut ce jour là, ne vous inquiétez pas la librairie abonde de bons petits libraires!!!!)
    N'oubliez pas votre petit matériel !

     

    Inscription au 05 49 04 05 03, par mail : jeunesse@lalibrairieniort.com, à La Librairie, 1 bis rue Thiers, 79000 Niort

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  • Un spectre hante l’Europe : le spectre de la connerie totale

    23 février 2013 Par leslie kaplan

     

     

    On peut TOUT dire, parce qu’on peut TOUT penser : c’est bien la définition de la littérature, qui s’est toujours déployée contre tous les interdits de penser, religieux, moraux, de « bienséance », etc. Le problème c’est qu’avec le libéralisme qui sévit, et par un paradoxe qui n’est qu’apparent, « on peut tout dire » est devenu on DOIT tout dire, et surtout s’il s’agit d’une « personnalité », détentrice supposée de puissance et de gloire, et surtout si c’est du « mauvais », du sordide, du morbide, transgression, transgression, et surtout si c’est de « moi » dont il s’agit, puisque c’est la preuve que c’est « vrai ». Il y a dans cette façon de faire une injonction à la fascination, et sous couvert de tout dire, une promotion autoritaire du RIEN.

    La convention, le consensus est une police de la pensée comme une autre. Est-ce que oui ou non le fait qu’il s’agisse de DSK dans le livre de Macela Iacub est important ? Evidemment oui, c’est dit et présenté (et vendu) comme ça. Quel autre intérêt y a-t-il ? Est-ce qu’il y a quoi que ce soit de nouveau ?

    Est-ce que c’est une découverte, qu’un homme (ou une femme) soit                     « un cochon » ? qu’un homme (ou une femme) ait des pulsions ? qu’il (ou elle) les suive ? qu’il (ou elle) se brime ?

    Est-ce que c’est vraiment nouveau qu’un homme (ou une femme) ait des pulsions sadiques, masochistes, ou ceci, ou cela ?

    Mais c’est un homme connu. Donc il DOIT être intéressant.

    C’est un homme célèbre. Donc il DOIT être passionnant.

    Je rêve.

    Est-ce qu’il y a le moindre risque à parler de « ça » ? La moindre transgression ?

    Transgression de quoi ? Où, mais où, est la transgression ?

    Ce qui se passe : un magazine à grand tirage (quoique déclinant) cherche à imposer l’idée que c’est intéressant, passionnant, nouveau, etc. de s’occuper d’une histoire entre une femme qui écrit dans les journaux et une « personnalité ».

    Point.

    Vide total.

    La littérature ramenée à des anecdotes, à des explications (il paraît que sa femme le tient en laisse).

    Ou à de l’introspection, à de la confession (autres formes d’explication). Je le dis donc c’est ma vérité.

    Le libéralisme impose économiquement la domination des entreprises les plus puissantes, et les médiateurs culturels qui suivent la pente de la société libérale imposent leur idée des sujets intéressants, à savoir : les célébrités, autrement dit : rien, le vide.

    Il est probable que Marcela Iacub, qui croit avoir vraiment écrit un livre où elle parle vraiment d’elle, croit aussi avoir librement choisi de s’occuper de DSK. Elle a juste suivi ce qui est la norme actuelle de la société.

    Cette dictature du vide a pour fonction de faire croire aux gens, à ceux qui ne sont pas les puissants de ce monde, qu’ils participent à la société dont ils sont en fait exclus. Ils n’ont pas vraiment de pouvoir de décision, mais ils connaissent le petit bout de la petite culotte. C’est en quoi toute cette trivialisation de la culture ressemble fortement à  l’opium du peuple dont parlait Marx.

    Et comme l’opium de la religion cette trivialisation elle aussi console le peuple en dévalorisant, en rabaissant toute forme de vie ici bas, et surtout celle des « grands », en montrant encore et toujours que toute vie, même pour les plus célèbres, est au fond une saloperie, faite d’indignités, de bassesses, de misère et de malheurs…

    Les fascistes disaient, Viva la muerte.

Leslie Kaplan

    Le lien direct, c'est ici  !

     


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  • Atelier Tricot

     

    en compagnie de l'Atelier de Lola

    Atelier Tricot

     

    Samedi 23 février

    de 10h à 13h

    Deux niveaux pour cette matinée :

    -débutant : pour apprendre et réapprendre le tricot.
    -expert : pour découvrir le point Herringbone.



    Pour faciliter l'organisation de ce samedi matin,

    nous vous demandons de préciser votre niveau

    et de verser les 2 € lors de votre inscription.

    Merci !

     

     

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  •  

    Pilori - espace d’arts visuels

     

    saison 2012-2013

     

    Joe G. Pinelli 

     

    Dessinateur BD

    Exposition de Joe G. Pinelli

     

    Favorite things 

     

    Du 22 janvier au 23 février 2013 

     

    Exposition ouverte du mardi au samedi de 13h à 19h30 

     

    Gratuit (accès libre) 

    Exposition de Joe G. Pinelli

     

    Informations et inscriptions pour les visites de groupes : 

     

    Service Culture - Maire de Niort 

     

    05 49 78 73 82 

    culture@mairie-niort.fr 

     

     

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  • Jeudi 14 Février à 18 h 30 ¡ Un Tango y un abrazo !

     

    Un Tango y un abrazo !

     

    Laissez-vous conter une histoire d’amour…. Et entraîner par le rythme d’un tango au son de l'accordéon !

     A travers des textes d'André Breton, Achille Chavée, Marguerite Duras, Dario Fo, Ghérasim Luca,            Pablo Neruda, Emmanuelle Pagano, Ali Smith               et Oscar Wilde.

    Pour la deuxième année, une Saint Valentin en décalé, en lectures et en musique !

     

    Côté lecture, Béatrice, Dominique, Fabienne, Marie-Pierre et Patrick… et même une libraire… 

    Côté musique, à l’accordéon Frédérique, Thierry et Monsieur Pichelin. 

     Et Côté Tango, l’association Tang’ochos ! !

     

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  • A l’occasion de la parution de son nouveau livre

     

    Profanes

     

    la Librairie des Halles vous invite à assister à une rencontre avec

     

    Jeanne Benameur.

     

    La rencontre aura lieu le mardi 5 février, à 18h30 et sera suivie d’une séance de dédicaces.

    Ancien chirurgien du cœur, il y a longtemps qu’Octave Lassalle ne sauve plus de vies. À quatre-vingt-dix ans, bien qu’il n’ait encore besoin de personne, Octave anticipe : il se compose une “équipe”. Comme autour d’une table d’opération – mais cette fois-ci, c’est sa propre peau qu’il sauve. Il organise le découpage de ses jours et de ses nuits en quatre temps, confiés à quatre “accompagnateurs” choisis avec soin. Chacun est porteur d’un élan de vie aussi fort que le sien, aussi fort retenu par des ombres et des blessures anciennes. Et chaque blessure est un écho.

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