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est heureuse d’accueillir l’exposition d’
Eric Chauvet
I-Day in London
du jeudi 29 novembre au samedi 29 décembre
le vernissage aura lieu le 29 novembre à 18 h 30
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Le Musée absolu ou le cadeau absolu.
10 ans de conception, une quarantaine d'auteurs – dont d’éminents conservateurs de musées, professeurs d'art et archéologues , provenant du monde entier, voilà ce qui donne une idée de l'ampleur de cette véritable encyclopédie de l'Histoire de l'Art éditée par Phaidon.
Présenté comme un musée virtuel, le livre expose, de salle en salle, des œuvres allant de la préhistoire jusqu'à aujourd'hui. Tous les thèmes, les périodes, les civilisations sont donc ici abordées, de la préhistoire aux performances, en passant par l'art précolombien ou les estampes japonaises....Le format exceptionnel (38*75) autorise une reproduction extraordinaire des très nombreuses illustrations (2700), permettant aux lecteurs de s'attarder sur des détails habituellement invisibles aux yeux des lecteurs de monographies habituelles..
Accessible, éducatif et source d’inspiration, il s’adresse aussi bien aux néophytes qu’aux amateurs et professionnels de l’art. 1000 pages et 9 kilos, un livre hors du commun!
Le Musée absolu
sous la direction d'Amanda Renshaw
Editions Phaidon
175 euros.
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Mardi 27 novembre à 18 h 00
Pascal Mérigeau fait escale à la librairie !
À l’occasion de la parution de
Jean Renoir
publié chez Flammarion.
avec à la complicité de la Scène Nationale Le Moulin du Roc et de Jacques Morel !
Des films de Jean Renoir au CAC,
et une rencontre avec Pascal Mérigeau à l’issue de la projection de « La grande Illusion » programmé à 20 h, ce même jour.
Journaliste au Nouvel Obs (et originaire des Deux-Sèvres soit dit en passant !) Pascal Mérigeau nous coupe le souffle avec une grande, très grande, biographie sur Jean Renoir.
Une impressionnante biographie nourrie de cinq ans de travail, cherchant à « décortiquer » ce grand cinéaste, son œuvre, mais surtout ses agissements, ses zones d’ombre, ses incohérences et cachoteries… lui qui avait tout d’un « communicateur » zélé.
Déjouer, passer le personnage (car oui ! ce Jean Renoir est un vrai personnage !) au crible, Pascal Mérigeau n’hésite pas à traquer tout ce qui ne s’est jamais dit, même s’il le fait avec grande admiration et tendresse.
Il s’en explique lui-même :
«… je conviens que beaucoup de mes certitudes se sont effondrées et qu’en vérité je suis passé sans cesse de la surprise à l’étonnement. Aujourd’hui mon admiration pour le cinéaste a grandi, ma sympathie pour la personne s’est muée en empathie, à présent teintée d’affection. »
Et nous voilà embarqué, sans pouvoir le lâcher, dans ce livre imposant (1100 pages !) qui traverse le siècle dernier… De 1894 à 1979 !
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Merci à toutes et à tous !!
Rendez-vous le samedi 26 janvier, de 10h à 13h pour une initiation au crochet et une dégustation de la galette des rois !!
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La Librairie organise un nouvel atelier de loisirs créatifs.
Samedi 24 novembre
de 10h à 13h
Vous pourrez y découvrir comment confectionner des boucles d'oreilles en Liberty. Chaque participant repartira avec ses créations.
Participation 2€
Réservation conseillée.
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Jean-Hugues Oppel,
grand polardeux, l’un des invités du festival Regards Noirs, cuvée janvier 2013, est de passage la semaine prochaine à Niort….
Il s’arrêtera pour notre grande joie
mercredi 28 novembre
à la libraire…
Et dans son sac à malices des jeux d’écriture !
Rendez-vous à 16 heures !
Merci de réserver par mél : contact@lalibrairieniort.com
Ou par téléphone au 05 49 04 05 03
Car si ces jeux sont ouverts à tous les âges, de trop grandes différences seraient susceptibles de freiner certaines ardeurs créatrices ! et alors, deux groupes seraient formés !
Je laisse l’auteur nous en dire plus :
« C’est un petit jeu bête où plus on est de fous, plus on rit, sans limite d’âge. On peut se mélanger confirmés ou néophytes, personne n’est avantagé ni handicapé; et même plâtré jusqu’aux oreilles, tant qu’on peut cligner de l’œil une fois pour “oui” et deux fois pour “non" on peut jouer avec moi ! »
Et même un peu plus !
« Le pitch: devant vos yeux ébahis, en un coup de cuiller à pot littéraire, se construira la trame d’un bonne vieille intrigue policière.... ! »
Et puis, l’occasion de découvrir ses proses, polardeuses, adultes ou pour les plus jeunes ! de discuter avec lui, et de lui demander une petite signature….
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Moi aussi
Sophie Calle
Editions 591.
Couverture en velours rouge. 80 pages reliés à la japonaise, perforées au pli.65 euros.
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Vendredi 16 novembre à 18 h 30
Rencontre avec Daniel Courant et
François Wiehn
À l’occasion de la parution, chez Geste du
Dictionnaire des peintres et des sculpteurs des Deux-Sèvres.
Que de questions à poser à ces deux chercheurs, en consultant ce merveilleux dictionnaire, dans lequel on aime à s’égarer….
Et que l’on égraine au fil de l’alphabet, et de ses annexes…
Un travail d’archivistes, d’historiens au service de l’art, avec bien sûr la complicité de
Gérard Aubisse.
Artistes connus, artistes oubliés ou méconnus, artistes dont on peut voir les œuvres au Musée Bernard D’Agesci … traversant le temps et les siècles jusqu’à aujourd’hui… (Attention ! Vous ne trouverez pas ni peintres ni sculpteurs vivants !
On y trouvera Jacques Coulais… mais aussi Erik Dietman…
Une vraie mine pour les longues soirées d’hiver !
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A ne manquer sous aucun prétexte !
ROBERTO FONSECApour son dernier album YO !
En direct c'est tellement mieux !
Et c'est le 14 novembre à 20 h 30 ! Et on y sera ! !
(...) Baba Sissoko est au coeur du projet de Fonseca, consacré parmi les meilleurs compositeurs-improvisateurs débarqués de la plus grande île des Antilles. Présent sur la plupart des morceaux de l’album Yo, le poly-instrumentiste malien est une pièce maîtresse de la nouvelle formation du cubain, remaniée pour l’occasion avec claviers vintage, basse et guitare électrique. “Je rêvais de retravailler avec Baba, il était le premier sur la liste des personnes auxquelles j’ai pensé pour ce disque”, explique Roberto Fonseca.
Une main sur le Steinway et l’autre sur l’orgue Hammond, Fonseca détourne systématiquement ses compositions en joutes instrumentales improvisées. Sissoko, au tambour d’aisselle tamani, luth n’goni et chant, répond à l’éloquence du Cubain avec l’assurance d’un musicien rompu à ce mode de session, où l’échange prime sur l’interprétation. Le plaisir de ce dialogue ludique et spirituel est palpable et irrémédiablement contagieux.
Si la tournée de Fonseca laisse augurer de beaux duels pour nos soirées d’été, son nouvel album s’avère tout aussi passionnant, à la hauteur des ambitions de ce musicien prolifique et omniscient. (...)
Ces quelques lignes, écrites par Yannis Ruel (Les Inrockuptibles - 18/04/2012), résument bien ce qui va se passer au Moulin du Roc au mois de novembre.Roberto Fonseca, que d’aucuns considèrent comme le plus grand pianiste de jazz actuel, va donner un concert dont il a le secret, une invitation métissée au plus beau des voyages musicaux.
Roberto Fonseca : piano, claviers, chant / Joel Hierrezuelo : percussions / Jorge Chicoy : guitare électrique / Ramsés Rodríguez : batterie / Yandy Martínez : basse / Baba Sissoko : percussions africaines
http://www.robertofonseca.com/fr
http://www.myspace.com/robertofonseca
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Penone fait enfin l’objet d’une monographie !
Figure tutélaire de l’Arte Povera (qui utilise des produits pauvres : sable, chiffons, terre, bois, goudron, corde, toile de jute, vêtements usés, etc), son œuvre est marquée par la nature et la présence du corps. Le livre se compose de 7 thématiques : le souffle, le regard, la peau, le cœur, le sang, la mémoire, la parole entrecoupées d’entretiens avec l’artiste, ou de spécialistes du travail de Penone. Sculptures, dessins, photos, œuvres in situ, tout y est ! Une somme !!
Penone exposera au Château deVersailles en 2013.
Giuseppe Penone
Sous la direction de Laurent Busine
Actes Sud
69.95 euros
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Et oui, on trouve également de très intéressantes expositions en « province » ! J’en veux pour preuve, Lille et son festival Fantastic 2012. Parallèlement au Musée des Beaux Arts qui organise une très bonne rétrospective consacrée à la représentation de Babel dans l’art, et ce des origines du mythe jusqu’à aujourd’hui, le LAM (pour Lille métropole musée d’art moderne, d’art contemporain, d art brut…) propose une exposition dédiée à la reproduction de la ville dans l’art moderne, cinéma et architecture inclus. Début XXèm La ville, archétype de la modernité, excite l’imagination de bien des artistes, Manhattan est en pleine ébullition et suscite de nombreux fantasmes. Les futuristes italiens, bien, sûr, des russes également, (Vertov), des cinéastes, (Fritz lang), des peintres (Picabia, Léger), des photographes (Brassaï), et j’en passe. Captivant !!
La Ville magique
Gallimard
35 euros
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A la croisée du Land Art et de la sculpture contemporaine, Le Mouvement Intuitif confronte l’œuvre de deux artistes contemporains, l’américain Patrick Dougherty et l’allemand Adrian Maryniak. Le premier est mondialement connu pour son utilisation de branches d’arbres (érables, saules…) comme matière première de ses sculptures de tailles variées pouvant même enlacer des toitures ou une tourelle en briques ou même prendre les formes de quelque objet. Quant à l’Allemand, c’est à l’aide de fils de fer, d’acier ou d’aluminium qu’il se lance dans un traitement de la transparence et de la monumentalité. Le tressage et l’enlacement semblent être les constituants d’un parenté évidente !Un catalogue édité par l’Atelier 340, centre d'art indépendant et belge, créé en 1979, dont le but est l'étude et la promotion de la sculpture et de l'art tridimensionnel, aussi bien en Belgique qu'à l'étranger.Un livre rare !
Patrick Dougherty / Adrian Maryniak
Le Mouvement intuitif
Atelier 340.
49 euros.
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Samedi 3 novembre, de 10 heures à midi
Retrouvez Alain Bouchon !
Et son premier polar .... Niort et la main morte
publié dans la collection désormais connue "Geste noir"
Voici ce qu'en disait Yves Revert dans la Nouvelle République du 13 octobre :Ce salarié de la Maaf signe son premier polar. Pour les besoins d’une enquête au sein d’une mutuelle, une femme revient sur les traces de son passé niortais.
Son enfance a été remplie de livres. Dans les couloirs de la maison, dans les chambres, sur les étagères de la caravane en camping. « Je suis né dans un milieu d'instituteurs. Mes parents nous ont toujours ouvert l'accès à tous les livres, à toute la culture. Alors aujourd'hui, confesse Alain Bouchon, je suis content de leur offrir ça. »
Ça, c'est « Niort et la main morte », polar au titre à la Simenon qu'Alain Bouchon fait paraître chez Geste noir. Un jour, lors de travaux au siège d'une mutuelle, la Master, une main momifiée est retrouvée derrière une cloison. Pour les besoins de l'enquête, Catherine Valet, inspectrice de police à Paris, revient contre son gré dans la ville de sa jeunesse, après des années d'absence.
Les auteurs suédois
Au départ, Alain Bouchon n'était pas plus que ça amateur de polar. Et puis, il a découvert les auteurs suédois. « Je me suis dit!: pourquoi ne pas faire avec un arrière-plan niortais ce qu'ils ont fait avec Stockholm et la Suède!? » Chaque matin, Alain Bouchon se lève, prend son petit déjeuner et se bloque une demi-heure pour écrire. Au démarrage, il s'est senti comme l'alpiniste au pied du sommet. Il a fallu attendre la page 250, pour que tout à coup, il comprenne qu'il réussirait à aller jusqu'au bout : oui, finalement, ce livre, il allait le terminer. « Un moment grisant. »
" Un diable en dentelles "
Ses grands-parents habitaient Niort, il y a passé son bac, son premier travail a été à la Camif, il est salarié à la Maaf. Un pur produit de synthèse. On croise dans son roman une « madone du consulting », véritable « diable en dentelles », une « Mata Hari des mutuelles » et certaines phrases sont mordantes sur cet univers. Mais pas d'amalgame : « J'ai décrit une entreprise qui n'a rien à voir avec les mutuelles existantes, je suis plutôt aller chercher des modèles d'entreprise en Suisse ou aux Pays-Bas. Je ne fais pas partie des désabusés des mutuelles niortaises. Et il ne s'agit pas d'un roman à clé!: le jour où j'aurai envie de faire ça, j'écrirai mon autobiographie!! »
" Je ne fais pas partie des désabusés des mutuelles "
Le vrai personnage, c'est la ville elle-même que Catherine Valet découvre en plein chamboulement. Un retour pour ainsi dire proustien, comme lorsqu'elle se revoit lézarder dans le petit jardin du haut de Brèche en attendant le départ des cars Brivin, à l'endroit où pousse aujourd'hui l'architecture contemporaine de Jean-François Milou, « comme un Parthénon noir au-dessus de la cité ». Au service de son intrigue, Alain Bouchon agglomère vérités, fiction, vrais souvenirs, faux souvenirs. « L'écriture du livre m'a aidé à mieux comprendre Niort et si j'ai un espoir, c'est qu'il pousse le lecteur à se poser des questions sur son rapport avec cette ville. Niort porte aujourd'hui dans son urbanisme des traces qui font réfléchir à ce qu'est le changement. Quand on passe devant Boinot, on comprend la force et la vitesse de ce qui peut arriver. »
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